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Enfin, un jour… Nelson Rolihlahla Mandela

Dans le monde grandiose de l’âge d’Internet, mon agent à la Havane a été un Noir uniquement consacré à l’amitié de deux extra-cieux. Un donneur de leçons du monastère des arts du mensonge dans le mondial moniteur de jeux innommables que sont les mariniers du monde des Ben-assassins du peuple syrien… Mais due à mon expérience déjà avancée de ma condition de militante dans le monde numérique comme la personne la plus anonyme de la planète africaine, je m’imagine comme une annamite unissant une douceur unique avec une conduite de manageur de nougat avec du vinaigre pendant que conduite par la monture du magique animal de la lune argentée du Moyen Orient, mon unique connaisseur de la punition des Dieux de la condition des femmes a été la seule et unique joie de ma vie. Mais un jour Nelson Rolihlahla arriva du plus médiocre des villages dont Renaissance est liée à sa sortie de prison dans un pays où la vie d’un Noir a eu autant de poids que celui d’un petit caillou du chemin dans la monumentale Union des Miniers du Transvaal, punissant de la manière la plus gentille le monde blanc en le dressant à la hauteur d’un être humain.

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