Taha Hussein n’était-il pas contre la révolution algérienne ?
In « Souffles » … De toute la littérature maghrébine écrite dans les deux langues, Taha Hussein (1889-1973), surnommé le “doyen des lettres arabes”, n’a lu que deux romans : le premier est la Colline oubliée de Mouloud Mammeri (1917- 1989) et le deuxième est le Barrage (Assad) du Tunisien Mahmoud Messadi (1911-2004). Le premier est écrit en français et le deuxième en arabe. Devant ces deux romans, Taha Hussein n’a caché ni sa méconnaissance de la littérature maghrébine ni, d’ailleurs, la fascination dégagée par une telle écriture libre et rebelle. Dans…
Read More