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Apocalypse

On mange trop, selon Roy Lewis , et non pas Jamel Debbouze – « Pourquoi j’ai pas mangé mon père ? » – le livre parle de l’évolution, de la technologie de l’époque et de diverses logiques, l’ostrogoth, celui qui refuse le progrès et de descendre de l’arbre, l’oncle d’Amérique, quoi ! Bon, je suis Brestois, nous à Brest même, nous avons des tics de langage, le film de monsieur Debbouze était à l’affiche mais l’argent, mon handicap majeur, ne m’a pas permis d’aller me frotter au rire entendu, ou attendu ? Le feu, le volcan de la vie, l’uranium de nos maux nous a permis d’aller nous blottir auprès des ours, de se couvrir de leur peau, aujourd’hui, je me meurs de voir un ours blanc en antarctique mourir de faim, et nous, et nous et nous, dirait Monsieur Jacques Dutronc , il est vrai que Paris ville capitale s’éveille à cinq heures, Brest ma ville natale ne vit plus sur vingt-quatre heures et la Jeanne, pas Mireille, ni celle, schizophrène  d’Arc, bateau séculaire, je rigole, rouille magnifique, partait loin, fleuron de la France. Je divague, revenons à nos moutons, et pas à la mer, à notre mère, la Terre ! Les Abeille Flandre sont des bateaux magiques, affrontent les tempêtes, vous rouspétez, je suis marin, goéland, qui eux aussi meurent et disparaissent de ma pluie de larmes, du fruit de mon âme, je suis en colère contre vos vacances, vos calculs d’impôts, voire de vos reins, je suis en colère d’entendre que vous voulez vivre mille ans, moi Milan, c’est une ville où je vais pour voir une fille à la tour Eiffel, ben oui, je suis fou A.O.P ! Fou, mais je sais que je dois me nourrir, dormir, et parfois m’habiller d’une parure de majesté, car je suis comme Monsieur Jacques Kerouac ledit « clochard céleste », comme Jeanne d’Arc j’entends des voix, ma mission, aucune idée, ne pas avoir peur de vous, de votre bêtise d’aller chercher le soleil quand une simple et seule réunion aux marquises suffirait à résoudre la crise ! La crise de foie, de rire, ils polluent l’espace, vont chercher des boites noires pour un avion qui s’écrase, calculent le risque zéro, et oublient de dire qu’un marin sans son corps est une femme sans assurance de vivre et d’élever sa famille, chez moi, enfin en face, je ne suis pas un îlien, aucune offense pour eux, la vie rude, ils connaissent, le dicton est : « Qui voit Ouessant voit son sang ! » Je dérive, pensez-vous, les courants sans vent contraire, et sous-marin, le Bugaled Breizh, une énigme, un secret d’État, mais que vaut la démocratie indirecte aujourd’hui, internet me permet d’écrire de maudire ma race, j’ai honte ! Un enfant meurt de faim toutes les cinq secondes et vingt cons vont polluer l’espace de réunion en réunion pour dire au peuple grec qui se meurt de cette crise capitale, ni Paris, ni Hong-Kong, ni Washington, ni Berlin, ni la liste, et elle n’étant pas exhaustive, je ne suis pas bon, mais nul en géographie, ma colère est de dire on peut rien faire de voir un père, une mère-grand pleurer pour retirer du vent, des billets, du vent dis-je la plus grosse bêtise et de ne plus étalonner sur l’or, l’argent, et le numéraire, les milliards font rêver, alors arrêtons de faire tourner la machine, pourquoi ne pas faire un univers de paysagistes, moi, j’ai jamais vu une cascade, euh, si Monsieur Belmondo au cinéma, mais l’Apocalypse du maître des étoiles, ce Nostradamus, arrive, une prédiction, une erreur de quoi cinquante ans tout au plus, alors polluer le ciel pour vendre du vide dans vos repas de cigogne, de flamand, de rosé, bordel de merde, nous sommes 7 milliards peut-être plus sur Terre, alors réfléchissons ensemble, Monsieur Raoni le sait, lui ! L’Amazonie comme moi pleure ! Je pleure de rire de savoir que les campings sont autorisés à Paris pour acheter un truc, chose qui lance des ondes, et qu’ un camping sauvage à la torche nous vaut une lampe torche, j’ai du vécu de malade, avant ma dernière balade j’ouvre ma tronche et je gueule, mon ami de cœur Monsieur Einstein , disait ceci en substance, la technologie entraînera une génération de crétins, nous y sommes !

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