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Des Hallalis… ya dallali

Vous allez inexorablement poser la question suivante : quelle est la relation entre ces deux expressions (Hallali – ya dallali). La première, comme son nom l’indique, signifie un cri, incitant le chien à parcourir le gibier, la seconde en dialecte arabe signifie à peu près le même sens, mais avec quelques petites différences ; Dallali, précédé par « ya », donne plus d’ardeur au cri « Ya » dans sa sonorisation phonétique qui signifie : l’étonnement de l’individu, en annonçant quelque chose d’une façon ridicule, comme elle peut avoir une autre signification. Par exemple un cri de joie, de détresse, de vanité, de jouissance donne aussi l’impression d’un désir charnel, sensationnel, d’un émerveillement impressionnant, d’une admiration ! etc. En somme, chez nous elle signifie « hélas », aussi elle est polyvalente, diversifiée, elle s’emploie partout, même dans des moments de tristesse, de chagrin. Elle est sans principes ni loyauté. Elle se contredit quand elle signale un acte de jouissance, quelle joie ! par exemple ; mais elle garde toujours son humeur, sa magnitude. Dans les pays occidentaux, cette expression (hallali), voire ses origines sont issus du vieux latin « vénerie » qui signifie chasser, « la chasse à courre » plus précisément ; ce terme est aussi dérivé du verbe « héler » qui veut dire appeler de loin ; la vénerie, chasse ancestrale, traditionnelle qui indique aussi « chasse à courre, à cor et à cri » ou « chasse à bruit » selon les coutumes. Elle est interdite dans certains pays comme : Grande Bretagne, Belgique, Allemagne, France, Etats Unis, Canada, Australie, Nouvelle Zélande, Irlande, Italie et Portugal, à titre d’exemple. Cette tradition de chasse est impliquée uniquement pour chasser le cerf, le chevreuil, le sanglier, le renard, le lièvre et les lapins. Ces animaux qui dévastent nos champs, sauf le lièvre, le lapin, qui sont des nôtres parce que tout simplement ils ont un esprit pacifique, clément. Le problème, voire la polémique n’est pas là, d’autant plus que tout acte de ce genre ne répond qu’a l’intérêt de chacun de ces pays sur le plan économique, écologique, et environnement. Si on analyse profondément cette mesure on arrive indubitablement à une conviction, à une conclusion qui est la suivante : l’odorat des chiens dans cette mesure humaine n’exclut jamais la distinction quant aux êtres et gens opprimés, ou non, sauf si cet odorat est instinctivement lié à l’instinct ou à l’intuition de cet animal obéissant (à son maître). Parlons, humainement : certains de ces chiens se diffèrent, quasiment, hélas ! à la haine de l’être humain et à sa nature de rancune, par mégarde souvent ! Quand nous agissons à perpétuer l’autrui par différentes mesures de chasse licite, ou par une voie supplice (infanticide à titre de comparaison), par une marraine, ou parrain peu importe, et en plus en 2015, par le tuteur (décideurs, pouvoir ou autres), pour moi c’est un acte catastrophique, fâcheusement. Cela, malheureusement, se passe actuellement sous les décombres en Irak, Syrie, Yémen, Nigeria, Birmanie, où Règne le massacre des musulmans à huis clos (génocide ethnique effroyable). Parlons toujours humainement, cet acte de barbarie (des ONG ont tiré déjà la sonnette d’alarme). A mon sens, cette chasse à l’homme ne reflète que l’indignation, la méprise à l’encontre de l’humanité dans toutes ses formes, ses aspects, humanitaires, judiciaires etc. Ce qui se passe actuellement en Birmanie, ce pays asiatique à tendance bouddhiste, ne reflète à mon sens qu’une monomanie ! caractérisant, aux yeux de l’humanité, un jugement purement ethnique, délirant, quelle que soit l’existence de l’autrui. Agissant toujours humainement, que Tout être sur cette terre a droit à l’air, à la survie, quelles que soient sa position, sa tendance dans cette planète, même les animaux qu’on chasse par cette méthode « chasse à la courre ». Donc les grammairiens ont bien défini le sens grammatical de cet « être linguistique », déshonoré, souillé par et dans le sang fraternel, ethnique. Peu importe, souillé dans ou par le sang ! En outre, si seulement la seconde expression « ya dallali » porte une tunique ! c’est pour bifurquer sur une autre sentence. A ce moment-là, on peut agir rationnellement, et dire que c’est la fin de ce monde ; avec ma condamnation inconditionnelle quant à la persécution des chrétiens en Syrie, en Palestine, ou ailleurs… Arriver à ce stade d’hystérie c’est bien réunifier le vent qui amène le gibier. A ce moment-là, aussi, on peut confirmer que lorsqu’un citoyen sexagénaire retraité, de petite bourse, sort de la poste avec alacrité, dans sa poche une maigre pension, implore Dieu en exprimant sa joie par l’expression « ya dallali » qui signifie « quelle misère ! » cela désigne le contentement absolu d’un tourment moral, chronique, tout simplement, sans chercher midi à quatorze heures. Il y en a plein d’exemples de ce genre, mais laissons le puits couvert, comme on dit en dialecte arabe ! Par ailleurs, ce qui est surprenant dans cette polémique c’est que ce petit citoyen est toujours persécuté, même chez lui par des mentalités différentes qui chassent à la courre notre dignité, notre fierté, notre souveraineté en tant que pauvres citoyens dans un univers plein de magots. Et Que Dieu protège notre progéniture Amine Répétons tous, hommes et femmes : Hallalis ya dallali Applaudissons tous, hommes et femmes, la chasse au hallali ya dallali ! Hallali ya dallali, quelle musicalité, quelle harmonie, quelle cadence ! Hallali ya dallali !!

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